Vous aussi, vous nous manquez tous déjà!!!!
Bon, bonne nouvelle, on a dormi!! Le lit est bon et les oreillers parfaits! Après un cycle, réveil collectif à OOh3O, et veille durant 3h,(décallage oblige) on s'est tous les trois rendormis jusqu'à 8H3o et Titi dort encore!!!!! Normal, dans l'avion , sur les 11h3o de voyage, il n'avait dormi qu'une heure!!!!!!!!Le pauvre!
Ici, il fait trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès chaud...indescriptible ! Vive la clim!
Passons aux choses sérieuses: M. Bich nous a accueillis à l'aéroport où nous avons attendu nos valises très longtemps (je crois que nous étions dans les derniers et les valises arrivaient par paquets de 10 avec de longs moments d'interruption). Nous nous sommes ensuite déplacés vers la guesthouse chez Loan pour déposer Sandrine et sa mère où nous avons vu Fanny et Gautier et leur petit bout. Le moment fut court et nous sommes repartis pour loger à l'Army Hôtel où nous avons du attendre jusque 8h15 pour avoir la chambre. M. Bich nous a alors remis 1 photo de notre fille avec des rapports médicaux : alors pour ceux qui ont connu Timéo à notre arrivée, elle est encore beaucoup plus potelée que lui! Si, si!
Mais pour l'instant, nous ne savons pas quand nous la verrons!
PS: si qn sait comment on enlève des bourdonnements d'oreilles suite à l'altitude, merci! ( je souffre de l'oreille gauche!)
Pour toi !
Oui, c'est pour toi, mon Titi, mon Timéo chéri, que j'ouvre ce blog aujourd'hui. Tu as déjà trois ans et 4 mois ! Trois ans et 4mois que tu m'as adoptée: lorsque je t'ai serré dans mes bras la première fois, tu m'as souri, je t'ai dévoré des yeux et depuis à chaque fois que je te regarde, je me dis que tu es le plus beau cadeau que la vie m'ait fait!
Tu me regardes avec tes grands yeux d'ébène
Et tu plonges ta main d'enfant dans mes cheveux clairs
"-On a la même couleur, nous, maman?"
J'aimerais te dire oui.
Tu prends ma main dans la tienne
Tu fais danser ton autre menotte devant mes yeux verts
"-On a la même couleur, nous, maman?"
J'aimerais te dire oui.
Tu me serres fort contre toi, aussi fort que papa
Tu poses délicatement ta main sur mon ventre
"-Ton ventre, il est cassé, maman?"
-Oui, mon loulou mais ce n'est pas grave puisque je t'ai toi maintenant!"
Et au fond de moi, voilà ce que j'aimerais te crier:
Si tu savais à quel point j'aurais voulu que tu sortes de mon ventre, si tu savais à quel point j'aurais voulu te porter et te sentir vivre en moi, pour de vrai comme tu dis, mais crois-moi, à la minute même où j'ai su que tu étais mon fils , que j'étais ta maman, je t'ai porté en moi jusqu'au plus profond de mon ventre et tu as pris la place que je t'avais réservé dans mon coeur, pour la vie. Je t'aime. Tellement que parfois ça fait mal.
Et tu plonges ta main d'enfant dans mes cheveux clairs
"-On a la même couleur, nous, maman?"
J'aimerais te dire oui.
Tu prends ma main dans la tienne
Tu fais danser ton autre menotte devant mes yeux verts
"-On a la même couleur, nous, maman?"
J'aimerais te dire oui.
Tu me serres fort contre toi, aussi fort que papa
Tu poses délicatement ta main sur mon ventre
"-Ton ventre, il est cassé, maman?"
-Oui, mon loulou mais ce n'est pas grave puisque je t'ai toi maintenant!"
Et au fond de moi, voilà ce que j'aimerais te crier:
Si tu savais à quel point j'aurais voulu que tu sortes de mon ventre, si tu savais à quel point j'aurais voulu te porter et te sentir vivre en moi, pour de vrai comme tu dis, mais crois-moi, à la minute même où j'ai su que tu étais mon fils , que j'étais ta maman, je t'ai porté en moi jusqu'au plus profond de mon ventre et tu as pris la place que je t'avais réservé dans mon coeur, pour la vie. Je t'aime. Tellement que parfois ça fait mal.
dimanche 2 août 2009
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